Bubu, Florent et moi-même avons lancé une partie de Spyrium mardi dernier. Bubu nous raconte son aventure :
Tout d’abord, merci à Noémie pour la découverte de Spyrium mardi dernier et surtout de la (très) bonne explication du jeu.
Spyrium c’est de superbes illustrations (mais je sais ce n’est qu’une histoire de goût), c’est un nouveau et surtout petit format de boite (enfin un éditeur qui a pitié de nos armoires !).
• Des règles courtes à l’explication (pour rappel : Noémie a été parfaite ! – pour rappel 2 : c’est la copine du Président de la grande et magnifique association des Ludopathes de Nantes).
• Pas de thème en cours de jeu et d’ailleurs Noémie n’a même pas essayé de nous faire rêver !
• Un jeu de pose d’ouvriers et de récupération de ressources classique, avec un mécanisme proche du marché d’Hermagor (mais ce n’est que mon avis ! – pour rappel 3 : je connais le Président des Ludopathes donc gaffe à vos fesses !)
• C’est un jeu de timing et d’opportuniste où l’interaction entre les joueurs est bien présente.
• Le jeu est rapide, fluide et immersif dès la première partie (ça ce n’est pas forcément un compliment !).
• C’est un jeu intermédiaire qui me fait tout de suite penser (en niveau de jeu) à Caylus Magna Carta le petit frère de Caylus (du même auteur) ou à Tournay le petit frère de Troyes (pas du même auteur).
C’est un bon jeu assez léger, rapide mais qui risque de devenir répétitif car les bâtiments ne sont pas très variés. Les possibilités doivent au final être restreintes car une seule ressource dans le jeu : le Spyrium (pour rappel 4 : c’est le nom du jeu, il faut suivre…). Ce qui risque de sauver le jeu, c’est la forte interactivité entre les joueurs.
Mais je peux le dire immédiatement sans prendre de risque, c’est un jeu qui tournerait sur nos tables de jeu ! Mais que fait la commission des jeux ?
NDLR : Je ne fais que retranscrire ici le très beau message très bien écrit de Bubu. Je n’ai rien ajouté....