Mardi dernier, j’ai eu l’occasion de jouer à l’un des nouveaux achats : Suburbia.
Mardi soir, je me suis lancée sur une partie de Suburbia. Je n’y avais joué que 2 fois, mais j’ai quand même réussi à faire une explication de règles à Patrick et Véronique (de passage), assistée de Thomas pour les quelques petits détails.
L’explication des règles est assez simple en fait...
Le but du jeu aussi : construire une ville et augmenter sa prospérité, tout en équilibrant revenus et réputation.
Le petit côté construction de ville à la SimCity me rappelle de bons souvenirs de jeunesse
En effet, comme dans mon jeu vidéo préféré, on retrouve 4 grands types de bâtiments : les industries (en jaune), les résidences (en vert), les commerces (en bleu) et la culture (en gris). Et en toute logique, placer un aéroport à proximité de vos habitations ne vous donnera pas bonne réputation ! À l’inverse, un lac récoltera les impôts de tout bâtiment adjacent.
Le petit plus, c’est les objectifs : 4 objectifs communs face visible et 1 objectif perso caché. Quand on dit « commun », c’est que les joueurs vont se battre pour les obtenir et quand on dit « perso », c’est que seul le joueur qui le possède peut éventuellement marquer des points s’il le remplit... N’est-ce pas Thomas ? Le pauvre, il pensait marquer des points avec les objectifs que ses voisins n’auraient pas remplis... Bon, ça ne l’empêche pas de gagner haut la main la partie !
Et voilà, il fallait bien que ça arrive... Je subis ainsi ma première défaite à Suburbia... Bon, certes, je n’y avais joué que deux fois auparavant, mais j’étais quand même invaincue
Et ça ne m’empêchera pas d’y rejouer, car il est très agréable et pas aussi abstrait qu’on pourrait le croire...