Hier soir, Cell m'a présenté ce jeu.
Il m'avait annoncé la couleur la veille. Je m'étais un peu renseigné sur le jeu dans la journée. Cela a d'ailleurs entraîné la fin de ma cartouche d'encre ...
Début des hostilité 20h45. Pour me mettre dans l'ambiance, je lance le trailer HD du film 300. C'est bon, je suis prêt à déployer mes troupes.
La rencontre se fera en deux temps. Je commence par jouer les syracusiens tandis que Cell joue les carthaginois. On fera la revanche juste après.
Ce premier scénario avantage les syracusiens, ils ont un commandement de plus (une main de 6 cartes contre une main de 5) ils disposent de plusieurs unités d’infanteries lourdes là où les carthaginois ont un mix entre lourd et médium. Je pars avec un autre avantage, on s’est trompé sur les troupes engagés du côté de Carthage. On se rendra compte de ce détail qu’au début de la revanche.
Le jeu est piloté par les cartes commandements qui permettent un nombre limité de déplacements/affrontements par tour.
Dans la première partie, après avoir perdu "bêtement" ma cavalerie intermédiaire, je décide de faire avancer mon armée au pas de charge. Cela me réussit, mon infanterie lourde anéantie les unités ennemies les unes après les autres. Victoire de Syracuse 5/2.
Sur la revanche Cell veut m’en mettre plein la vue. Il détache sa cavalerie médium à laquelle est attachée un chef. Et il fond sur mon côté gauche. Il pulvérise une de mes unités. Mais cette tactique audacieuse se retourne contre lui, je prend à revers son unité esseulée lui coupant sa retraite. Après je laisse parler les dès. Et cela tourne à mon avantage. J’élimine en un coup une unités gênante ainsi qu’un chef. La partie continue. Je vois une cohorte d’infanterie avancer inlassablement vers mes frêles troupes. Grâce à une retraite bien organisée, je limite mes pertes. Ce qui me place en position pour porter l’estocade. Après une première tentative infructueuse, je réussis à éliminer l’une de ses unités lourdes. La victoire est mienne, sur un flatteur 5/3.
Conclusion et bilan prochainement.