Top 20 du bubu Jeux
Expert « C’est parti mon Kiki, plus le temps de sucer son pouce ! » - de bubu
20 – Revive (2022) complexité 3,40 – position 63 BGG : C’est Bô mais ça prend énormément de place sur la table. Thème plaqué, placement, gestion de ressources, carte double fonctions, dans l’ensemble rien de révolutionnaire mais tout fonctionne parfaitement
dans ce nouveau monde à construire. Revive c’est du timing, du renouvellement optimal avec l’extension « L’appel des l’Abysses ».
L’interaction n’est pas folle mais l’opportunisme et les différentes courses viennent
gommer cette lacune. C’est un jeu aux règles simples, aux parties rapides, c’est très plaisant à jouer et à rejouer.
19 – Federation (2022) complexité 3,71 – position 436 BGG : fédérer le bubu n’est pas une mince affaire. La mécanique de pose d’ouvriers à double face ainsi que financement ou non des projets c’est le moteur des fédérations. Ensuite c’est un entourage de mini jeux planétaire
qui manque un peu de consistance, de renouvellement (pour le bubu) mais l’ensemble du jeu est plaisant, tendu avec
un décompte de points très sympa et original. Une extension ne serait pas de refus !
18 – Pulsar 2849 (2017) complexité 3,35 – position 173 BGG : l’exploration des étoiles dans toute sa complexité. Un jeu riche, dynamique, au thème hyper présent, un renouvellement planétaire, l’enfant qui est en bubu à
des étoiles plein les yeux. Petit reproche à la fin de la partie c’est une grosse salade d’étoiles. C’est toujours aussi bon de se perdre dans la galaxie.
17 - CO2 second chance (2018) complexité 4,09 – position 451 BGG : « l’air est impur, mais Lacerda est pur » Et de 4, oui quatrième Lacerda et quelle sublime refonte de son jeu de 2012, un très bon jeu qui s’est transformé dans cette refonte écologique en merveille polluante ! Du pur bonheur pour
cette seconde chance dans ce jeu compétitif (car cette version n’est pas qu’un unique jeu coopératif ou solo). Un jeu sous estimé et pourtant une mécanique reprise dans sa dernière production Inventions.
16 - Nations (2013) complexité 3,55 – position 158 BGG : le jeu Nations traverse les âges chez le bubu, un jeu de Civilisation merveilleux, accessible à la rejouabilité énorme. Construire sa nation avec de la pose d’ouvriers, de la combo de cartes et de l’interaction directe et indirecte. Tout de même 2 petits défauts partie longue et manipulation fastidieuse. L’extension Nations : Dynasties est indéniablement une réussite pour augmenter ce bonheur souverains.
15 – Blood rage (2015) complexité 2,88 ??? – position 49 BGG : jeu de placement, de draft, de conquête et au matériel de toutes figurines. Blood Rage comme l’annonce le thème est un
jeu violent « les joueurs d’Ark Nova
restez dans votre zoo avec les coincoins ». Différentes stratégies viables pour arriver à ses fins. Le seul bémol est que le jeu s’avère exigent et demande deux ou trois parties pour connaitre toutes les cartes
(indispensables !) et leurs efficacités. Un jeu qui se savoure donc qu’après un petit temps d’adaptation dans les batailles épiques des Vikings, que dire
« c’est la galère ! ». Une complexité de 2,88, le bubu n'a pas compris
ce chiffre ?!? Ou on n'a pas joué au même jeu !14 – Excavation earth (2021) complexité 3,78 – position 1074 BGG : Le mal aimé Excavation Earth qui martienne à l’aide de prélèvement puis de livraison accompagné d’un marché exemplaire, de gestion de carte à multiples effets. Programmation, opportunisme, coup bas c’est du
pur régal d’explorateurs extraterrestres. Le bubu à
la langue qui touche le sol à la vue des illustrations ExtraOuf ! Pourquoi Excavation Earth a été un bide commercial ? Certainement dû à la mécanique de Pick&Delivery qui ne fait pas commerce et certainement à son look mignon qui cache derrière un jeu méchant, agressif, exigent « faut pas bousculer les (petits) joueurs !». Seul défaut du jeu : un
poil long « des extraterrestres
avec du poil ? » en terme de temps de jeu (2 ou 3 tours de trop). La deuxième extension It Belongs in a Museum est indispensable (non édité en VF), la première extension Second Wave dispensable et
l’Extra bubu indispensable.13 - Yokohama (2016) complexité 3,31 – position 103 BGG : c’est aussi laid, aussi abstrait, aussi froid qu’un Hansa Teutonica, mais c’est aussi génial, sensationnel, intelligent, extraordinaire qu’un Hansa Teutonica ! Grâce à des règles simples, à sa fluidité, à sa profondeur de jeu, à son renouvellement des parties. Une nouvelle édition est annoncé donc plus d’excuses de louper votre vie une deuxième fois.
12 - Kanban EV (2020) complexité 4,31 – position 26 BGG : « quand on aime, on ne compte pas » Encore un Lacerda au thème vrombissant. Comme The gallerist la reprise en main est immédiate car tout est logique dans la chaine d’assemblage. Vous entendez le moteur
« Vroommmm » « Y’en a sous le capot ! » La planification des actions est somptueuse et rien que pour ça Kanban vaut un petit (dé)tour en voiture. La nouvelle version de 2021 amène de petits changements
déjà adopté par le bubu et revient avec un design magnifique.
11 – Amyitis (2007) Complexité 3,22 – position 841 BGG: le petit frère de Caylus,
qui n’a pas à rougir (d’ailleurs le bubu avec le temps préfère Amyitis à Caylus), aussi riche qu’un Caylus, mais qui n’a pas bénéficié
de la même reconnaissance ludique. Certes on se retrouve dans la même veine que Caylus, mais le résultat ludique est très réussi. Pour profiter du potentiel du jeu il faut intégrer la mini extension : le palais de Nabuchodonosor
(indispensable). Son auteur n’est autre que Cyril Demaegd le dirigeant à la grande époque d’Ystari Games
Dans cette deuxième partie du classement 4 nouveaux jeux
Excavation Earth (2021) / Blood Rage (2015) / Federation (2022) / Revive (2022)La suite très très bientôt !